La eminente socióloga comunista Danielle Bleitrach traduce y comenta los materiales de este blog

Danielle Bleitrach es una eminente socióloga marxista francesa especializada en sociología industrial, autora de varias novelas y libros de investigación social que se estudian en las facultades de ciencias sociales, profesora jubilada de la Universidad de Provence, apasionada de la Revolución cubana, perteneció al Comité Central del Partido Comunista francés (PCF). Se ha opuesto radicalmente a la deriva oportunista y liquidadora de la dirección de ese partido iniciada con Robert Hue hasta el punto de dejar del Partido en 2003. Es una intelectual marxista de la estirpe de un Georges Politzer, un Althusser, un Henry Lefebvre o un Maurice Godelier, de quién es amiga. Su blog es muy seguido en los medios progresistas en francés. Nos hace un honor en traducir y comentar los materiales de nuestro blog. Gracias Danielle nosotros leemos y aprendemos mucho con los tuyos. Nous vaincrons!

Algunos de sus libros

• L'usine et la vie, avec Alain Chenu, Maspero éditeur, 1979

Il s'agissait à partir d'une enquête concernant plus de 5 000 ouvriers de la zone de Fos-sur-Mer et de nombreuses entreprises (sidérurgie, pétrole, métallurgie, etc.) de comprendre comment les modes de vie contribuaient à créer des types différenciés d'ouvriers.

• Classe ouvrière et social démocratie, l'exemple de Lille et Marseille, avec Jean Lojkine, Ernst Oary (Alain Chenu), Christian Delacroix et Alain Maheu, éditions sociales, 1981

Étude comparative de deux modes de gestion municipale ouvrière. Dans les deux cas il s'agit d'analyser les modes d'hégémonie ouvrière, comment l'organisation, son idéologie a réussi à développer des formes originales de solidarité.

• L'exclusion ou la défaite ouvrière, avec Mustapha El Miri, L'harmattan, 1996

En partant de l'étude des trajectoires de 500 rmistes marseillais, il s'agit d'une remise en cause de la notion d'exclusion. Pour les auteurs, l'exclusion manifeste la défaite ouvrière du milieu des années 1980 et elle correspond à la mondialisation qui accroît les inégalités non seulement dans le Tiers monde mais dans les pays industriels avancés car elle pèse sur les salaires en particulier ceux des travailleurs non qualifiés. Chassés de leur pays une main d'œuvre immigrée souvent d'origine rurale se heurte à cette situation et la classe est défaite, mais aussi se défait, est de moins en moins collective : chômage, précarité, l'informel urbain s'étend.

Publicaciones sobre Cuba y América Latina

• Cuba est une île, coécrit avec Viktor Dedaj, et avec la participation de J.F. Bonaldi (éditions Le Temps des cerises, 2004, et traduit en espagnol en 2005 chez Viejo topo).

• Les États-Unis de Mal Empire, ces leçons de résistance qui nous viennent du sud, avec Viktor Dedaj et Maxime Vivas (éditions Aden, 2005, le livre a été traduit en espagnol en 2007).

• Cuba, Fidel et le Che - ou l’aventure du socialisme, en collaboration avec J.F. Bonaldi (éditions Le Temps des cerises, février 2008).

Les martyrs communistes de l’indépendance haïtienne

Publié 26 janvier 2010 Antilles Laissez un commentaire

Dans la logique qui a voulu que l’impérialisme pille les fonds publics, les ressources naturelles, l’agriculture et exploite la main d’oeuvre du peuple haïtien, il a massacré dans d’atroces tortures les meilleurs des fils de la classe ouvrière, des paysans et les intellectuels révolutionnaires, les membres de son héroïque avant-garde communiste, force capable de guider un processus d’émancipation qui libère le pays des chaînes de la misère, la dépendance dit cet article en espagnol que je vous traduirai peu à peu. Mais regardez ces visages et voyez « la véritable malediction » du peuple haïtien. De 1969 a 1986 mille membres du PUCH ont été massacrés par la dictature duvalieriste.

Quand les hypocrites dénoncent la réalité cubaine ils oublient que depuis cinquante ans ce peuple se bat contre le même destin que celui qui a été infligé à Haïti, parce que haïti est rebelle comme Cuba, contre un terrible blocus, contre une destabilisation, un terrorisme , la seule différence c’est que Cuba Fidel et les révolutionnaires cubains n’ont pas fini dans les geoles de l’impérialisme en y subissant une torture sans nom, et le peuple cubain a eu un destin totalement différent du pauvre peuple haïtien .

Voilà une vérité occultée non seulement par nos médias à la solde de l’impérialisme, mais y compris par ceux qui à gauche et chez les communistes eux-mêmes contribuent à l’entreprise de décervelage de notre peuple français.